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Choisir l’assurance de son prêt immobilier.

Publié le 12/10/2015

Si, dans l’absolu, la législation n’oblige pas à souscrire une assurance décès/invalidité lors de la signature d’un contrat de prêt, la totalité des organismes financiers l’exige. S’assurant ainsi (c’est le cas de le dire), le paiement intégral du prêt même en cas de malheur survenant à l’emprunteur… A noter par ailleurs que cette assurance couvrira les mensualités dues par les héritiers qui échapperont dès lors à des charges forcément imprévues.

Vous pouvez changer d’assurance pendant un an.
Dans la plupart des cas, les banques vous suggèrent fortement d’opter pour l’assurance qu’ils proposent ; ce qui, commercialement, se comprend. Néanmoins, il est rare que cette prestation soit facturée au meilleur prix du marché. Il peut être donc avantageux de se renseigner auprès d’un courtier afin qu’il vous déniche le plus bas taux possible. A cet égard, si vous avez déjà signé l’offre de prêt de votre banque, assurances incluses, sachez que vous avez la possibilité d’en changer tout au long des 12 mois qui suivent la signature du prêt, ce qu’on appelle une délégation, sous réserve que l’assurance de remplacement présente strictement les mêmes garanties que celles souscrites initialement.

Des clauses restrictives à ne pas négliger.
Certes, cela vexera peut-être votre banquier mais n’oubliez pas qu’une simple économie de quelques dizaines d’euros mensuels multipliée par les 240 mensualités d’un crédit sur vingt ans peut constituer un véritable pactole en fin de remboursement ! Mais comme pour tout contrat, prenez le temps de lire attentivement chacune de ses lignes, même les plus petites. En effet, les compagnies d’assurances peuvent exclure certains risques (la pratique de sports dangereux, voire la conduite d’un 2-roues). Restez donc très vigilants dans l’étude des ces exclusions de garantie. Enfin, selon votre âge, vous constaterez d’importantes différences de prime entre courtiers et banques, ces dernières présentant une fâcheuse tendance à proposer des tarifs prohibitifs aux plus jeunes et, a contrario, favorables aux 40-65 ans.

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